L'amendement ne fait que reprendre l'objectif que les gouvernements précédents s'étaient eux-mêmes fixé. Celui qu'affiche le projet de loi d'orientation des mobilités ne permet pas d'assurer un report modal vers le fer et le fluvial.
Nous avons eu une discussion sur le plan de réduction des voies fluviales, qui ne serait prétendument pas en cours d'élaboration.
Nous nous autorisons à continuer de poser ces questions, car nous voulons le retour d'une ambition forte en matière de report modal. Il faut être à la hauteur des enjeux climatiques et d'aménagement du territoire par les infrastructures alternatives à la route. Tel est, monsieur Lambert, le sens de cet amendement.