Je soutiendrai évidemment les sous-amendements présentés par Mme Battistel. Toutes les études de l'ADEME – agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie – ont montré, et encore récemment, que les travaux de rénovation énergétique ne permettaient pas assez de sauts de classe. Il serait évidemment très important de viser enfin des rénovations énergétiques plus performantes.
Quant au sous-amendement que j'avais proposé, les mots du ministre d'État me conviennent beaucoup mieux que « manifestement disproportionné ». C'est beaucoup plus clair comme ça : 25 %. C'est ce qu'il faudrait écrire dans la loi. Cela évitera toutes les interprétations.
Nos sous-amendements ont sans doute peu de chances de passer. Je note cependant le fort soutien de notre collègue Julien Aubert à ce compromis.