On leur explique qu'après les travaux, tout reviendra ; reste que, pendant deux ou trois ans, l'impact sera négatif. Sur le fond, il y a un intérêt à agir et, sur la forme, il est juridiquement très gênant que, pour un intérêt économique particulier, on ne leur donne droit qu'à un seul jugement. Feriez-vous la même chose pour l'industrie nucléaire, monsieur le ministre ?