Vous pouvez crier, vous pouvez vociférer, c'est la réalité, mesdames et messieurs ! Il en va de même pour le sucre : déstabiliser aujourd'hui la filière sucrière, qui connaît tant de difficultés, ne serait pas acceptable.
S'agissant de la filière volaille, qui concerne évidemment de façon spécifique votre région, monsieur le député, nous allons étudier sa situation. Alors, oui, l'histoire n'est pas terminée, et la ratification ne se fera qu'à la condition que l'agriculture française n'en sorte pas amoindrie.