Je ne peux pas vous répondre sur les violences commises dans les structures ; c'est la direction générale de la cohésion sociale (DGCS) qui pourra vous apporter des éléments d'évaluation.
Sur la question de la violence scolaire, des partenariats territoriaux se nouent avec l'éducation nationale. L'offre sanitaire n'est pas désengagée : au contraire, elle peut être un recours lorsqu'il n'y a pas d'offre en médecine scolaire.
La DGOS est totalement impliquée dans la stratégie nationale pour l'autisme 2018-2022, notamment avec le comité de pilotage (COPIL) « psychiatrie ». S'agissant des centres médico-psychologiques (CMP), une mission de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) a montré que des améliorations étaient nécessaires. Après les annonces de la ministre, nous lancerons des travaux au deuxième semestre sur les CMP et l'offre ambulatoire de psychiatrie, pour mieux répondre à la problématique des autistes qui se trouvent hospitalisés, alors qu'ils pourraient être pris en charge par des structures médico-sociales ou sociales.