J'espère qu'avec le président Macron, cette volonté se concrétisera. Dans un passé récent, les présidents successifs ont tous tenté d'amener l'aide au développement à 0,5 ou à 0,55 % du RNB– cela fait partie des ratios mythiques dont on parle toujours. Dont acte. Je ne sais comment financer cela, compte tenu des contraintes. En tout état de cause, la taxe sur les transactions financières ne pouvait pas convenir. On verra ce qu'il en est.
Pour en revenir aux chambres de commerce, c'est un réseau qu'il faut probablement aider à évoluer, mais il a déjà fait beaucoup d'efforts et c'est un domaine où il faut faire très attention.