Je comprends la cause qu'entend servir notre collègue, mais il y a quand même un paradoxe : tout à l'heure, il a été question de l'aide au développement, que nous avons essayé de faire évoluer positivement, sans succès ; et voilà que l'on voudrait en prélever une partie pour l'affecter à de jeunes enfants malades ! Certes, c'est important, mais il serait bon de ne pas aller puiser systématiquement des crédits dans les fonds de solidarité et avoir à arbitrer entre des causes qui se valent toutes. Cela suppose d'aller chercher des fonds ailleurs. Taxer la spéculation serait une excellente solution, et je regrette que nous n'ayons pas pu progresser en la matière ce soir.