Inutile, dans le temps imparti, de redire notre amour pour le Canada et nos liens avec cette grande nation, dont les racines se trouvent dans nos terres de Lorraine, dans les cimetières de la Grande Guerre et de la Seconde Guerre mondiale – chaque année, nous rendons hommage à ses soldats. Inutile de répéter que nous refusons de façon catégorique de nous laisser enfermer par la majorité dans un débat artificiel. L'autre jour, j'entendais Pascal Canfin opposer partisans et détracteurs du capitalisme. Je lui réponds qu'il y a ceux qui veulent le réformer et ceux qui font semblant de le faire.