… peu importe, car ce sera suffisant pour fragiliser notre écosystème d'élevage – , sacrifieront nos réserves de production et affaibliront la capacité alimentaire mondiale.
Je propose que nous réfléchissions, en lieu et place, à une autre mondialisation, non pas obsédée par le modèle shadok autour de l'Atlantique, mais centrée sur la Méditerranée, visant à développer des écosystèmes, à assurer le juste partage, à limiter les gaspillages et à renforcer des communautés paysannes – partout dans le monde, chez nous et chez les autres. Je milite ici non seulement pour nos éleveurs français, mais aussi pour tous les paysans du monde !