Avant de laisser la parole à Jean-Baptiste Lemoyne, je voudrais donner quelques éléments de réponse la présidente Marielle de Sarnez, qui m'a interrogé après mon intervention liminaire. Les quatre précisions que je veux lui apporter s'adressent d'ailleurs à l'ensemble de la commission des affaires étrangères, saisie au fond.
Premièrement, l'étude d'impact réalisée pour le CETA, avec une analyse par filière, doit devenir la norme pour tout nouvel accord. Cela me paraît essentiel afin que nous puissions évaluer concrètement nos engagements.
Deuxièmement, il est nécessaire de mettre en place un mécanisme de suivi continu non seulement qualitatif mais aussi quantitatif.