Le CETA ne modifie en rien les règles sanitaires applicables à l'entrée sur le marché européen, qui sont parmi les plus stricts du monde. Ce sont les Européens qui contrôleront les abattoirs et les fermes canadiennes avant de délivrer les autorisations. Nous avons obtenu d'ailleurs qu'un nouvel audit soit conduit d'ici à la fin de l'année 2019.
Je veux insister sur un point : la raison d'être des normes européennes est de garantir l'absence de risque sanitaire pour le consommateur européen ; là-dessus nous serons intraitables.