Son volet agricole est complètement injuste. Surtout, il pose un triple problème.
Premièrement, du point de vue économique et social, il introduit une concurrence déloyale entre les agriculteurs français et européens, d'une part, et les agriculteurs canadiens, d'autre part, ces derniers n'étant pas soumis aux mêmes règles sociales et bénéficiant de coûts de production moindres.
Du point de vue environnemental, il va clairement à l'encontre de l'urgence climatique.