Je vous ai écouté avec attention, mon cher collègue Bernalicis, et c'est sans surprise que j'ai pris acte de votre opposition de principe au texte.
Je veux compléter les interventions précédentes, d'abord pour rappeler que ce texte est le fruit de longs mois de concertation et d'échanges, mais aussi de débats parlementaires. N'oublions pas qu'il s'inscrit dans le sillage des grands textes qui régissent notre fonction publique : il ne la détruit pas, et ne remet pas non plus en question son statut.
Ce statut, il le modernise, comme c'est nécessaire et attendu par les agents eux-mêmes, sur le terrain.