Comment imaginer, chers collègues, que d'aucuns ici, notamment les plus eurosceptiques, puissent considérer qu'il nous faille recouvrer la différence entre ce que la France donne et ce que les Français reçoivent, alors qu'ils s'évertuent, au niveau national, à nous répéter sans cesse que les riches doivent payer pour les pauvres ?