Vous avez, monsieur le rapporteur, évoqué les parents qui cessent de travailler. Nous n'avons pas de préconisations particulières les concernant. J'aimerais simplement souligner que le handicap ne s'arrête pas quand l'enfant sort de l'école. Il pèse sur sa vie du moment où il se lève jusqu'au moment où il se couche.
Certains handicaps sont plus lourds que d'autres mais, bien souvent, la différence vient de la confiance. Certains établissements mènent de véritables politiques d'inclusion et de formation des enseignants. Ils mettent tout en oeuvre pour prendre en compte le handicap : ils essaient, ils proposent, ils associent les parents. D'autres, en revanche, ne font rien, par manque de volonté ou de moyens. Je ne leur jette pas la pierre, je le constate. Les situations sont évidemment différentes à la ville et en pleine campagne.
L'arrêt du travail est une question importante, mais je n'ai pas de solution à vous proposer aujourd'hui. Nous pourrions sans doute y réfléchir.