Monsieur le directeur général, vous avez souligné les progrès technologiques, les progrès de la thérapie, qui ont fait progresser le taux de survie. On peut donc déjà se réjouir que huit enfants sur dix guérissent – j'ai connu le rétinoblastome où on a un taux de survie de près de 100 %. Pour autant, il y a encore beaucoup trop de décès. Dans le cadre de ces lésions, les progrès de la génomique ouvrent effectivement des perspectives de thérapie qui suscitent de grands espoirs. On a délivré des autorisations temporaires d'utilisation, mais avec des coûts assez exorbitants. Comment réfléchir pour l'accès aux soins, dans le cadre éthique ?
Quelle méthode a été choisie par l'INCa pour permettre une bonne allocation des nouveaux fonds accordés par le ministère de la santé ? Comment coordonner ces actions de recherche, notamment au niveau international et en particulier au niveau européen ?