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Un service qui ne profiterait pas au fournisseur, tel un référencement à l'international alors que son marché est à 100 % local et français, serait une pratique abusive, et un distributeur qui le contraindrait au fameux « cinquième étage » prendrait un risque. Je pense que la grande distribution a tiré pour partie les conséquences de ses pratiques abusives et des sanctions. Elle est fragilisée et il n'est pas dans son intérêt de se liguer, dans le cadre d'une alliance, contre des concurrents qui, eux, respecteront davantage le texte. Aujourd'hui, les distributeurs sont formés et ont une parfaite connaissance de ce qu'ils peuvent faire, ne pas faire et de leurs intérêts économiques.