Pour conclure, je souhaiterais revenir sur l'article 1er de la loi ÉGAlim, qui est fondamental parce qu'il renverse le mécanisme de négociation. Nous y sommes totalement favorables. Malheureusement, il n'est pas encore mis en oeuvre, notamment en raison des différents calendriers législatifs des interprofessions. Ce changement complet dans le type de négociation suppose d'abord de la transparence.
Je rappelle que la loi ÉGAlim prévoit trois types d'indicateurs, à commencer par les indicateurs de coûts de production. Il y a eu un débat syndical sur les 2 SMIC.