Ce sont des questions très complexes, auxquelles il est toujours très compliqué de répondre. Nous estimons que 30 % des consommateurs font leurs courses à un euro près, et il faut en tenir compte au même titre que ceux qui sont capables de payer plus cher. Naturellement, en fonction des sensibilités des uns et des autres, certains vont s'adresser plus spécifiquement à un type de consommateurs, ce qui rend les choses complexes. Il est vrai que Michel-Édouard Leclerc a toujours été du côté des prix bas, et il le dit, c'est d'ailleurs pourquoi nous avons une position complètement différente de la sienne, notamment sur le SRP et sur les promotions.
Il faut tout de même regarder les choses de manière positive : la DGCCRF a estimé que les négociations s'étaient globalement mieux passées que les années précédentes.