Je vous ai déjà parlé de notre volonté d'anticipation. On ne découvre pas à 23 heures 59 qu'on a un problème commercial ou qu'on ne va pas se trouver, en cas pas chez Horizon. Il y a plutôt des écritures, pour les quelques cas qui ont été signés plus tardivement. Comme je vous l'ai dit, 40 % du chiffre d'affaires avait été signé à fin janvier, donc cette situation d'extrême urgence que vous décrivez n'est pas quelque chose qu'on a vécu. Ce n'est pas à ce moment-là qu'on découvre qu'on a un problème.
Cela étant dit, on peut potentiellement, quoique ce n'ait pas été notre cas cette année, ne pas trouver d'accord avec un industriel. La conséquence est alors qu'on n'a pas d'accord commercial et qu'on ne peut pas développer de business ensemble. Encore une fois, cela ne s'est pas produit cette année. Je pense qu'on a aussi essayé de trouver le moyen d'arriver à des accords, comme les industriels ont trouvé les moyens d'arriver à des accords avec nous. On n'a donc pas été exposés à ce type de situations.