Cela reste faible par rapport aux leaders du marché en France – qui ont chacun plus de 20 %. L'impact sera deux fois inférieur. Le regroupement nous permet d'amener de nouveaux modes de fonctionnement – que nous ne pouvions pas toujours porter seuls – et de nous engager dans l'accompagnement de certaines filières, tout en étant cohérent quand nous constatons des évolutions sur les matières premières.