Quand un de vos fournisseurs sait qu'il va négocier avec une centrale qui représente 30 ou 40 % de son chiffre d'affaires – alors que lui ne représente peut-être que 1 % du vôtre –, la pression sur les épaules de ses négociateurs est forte… Je suppose qu'il vient donc négocier avec des arguments et des éléments factuels lorsqu'il demande des hausses de prix – coût de l'énergie ou de la main-d'oeuvre, investissements, amortissements, recherche, taxes, etc. De votre côté, quels arguments mettez-vous en avant dans la négociation lorsque vous n'acceptez pas ces hausses de prix ?