C'est plus compliqué les deux dernières semaines, parce que forcément on a des rendez-vous flottants. On a des industriels qui font le tour de l'ensemble des enseignes, parfois la dernière semaine, donc on a du mal à prendre des rendez-vous. Cela peut se chevaucher. Mais moi, sincèrement, je n'ai jamais vu les situations que vous avez pu décrire. Nous essayons toujours de faire en sorte que cela se passe le mieux possible, même si effectivement la dernière semaine, c'est un peu le rush, je dois l'admettre.
Les primes des acheteurs sont effectivement objectivées sur différents critères. Il y a des critères de comportements, il y a aussi des critères sur le chiffre d'affaires sur leur catégorie, c'est important. Ils doivent faire croître le chiffre d'affaires, c'est dans leur intérêt de trouver un accord avec tout le monde.
Et puis il y a un critère de marge. Un marché doit se développer en termes de chiffre d'affaires mais aussi il y a les critères de marge qui ne sont pas forcément en hausse, ou peuvent être stables ou en baisse. Cela dépend des ambitions que l'on a sur ce schéma.
Et puis il y a un critère d'évolution de prix, qui peut peser jusqu'à 30 % de la prime d'un acheteur. Il y a des acheteurs qui sont objectivés sur des hausses. C'est le cas d'un acheteur sur le frais. Et puis il y a des acheteurs qui sont objectivés sur des baisses.