Quand nous avons eu vos dirigeants en audition, voici ce qu'ils nous ont expliqué : il y a les négociations internationales, ce sont des services internationaux pour un développement International. Il y a un effet de sas. En France, ils ne sont au courant, de toute façon, on ne se connaît pas, on ne s'appelle pas. Monsieur Gianluigi Ferrari est en Suisse, il n'appelle personne. Ce qui se passe en France reste en France. Quoi qu'il en soit, si on ne veut pas de service international, ils ne sont pas obligés de l'acheter. Nous ne faisons que proposer. Donc, cela n'impacte pas le marché français.
Et là, vous me dites exactement l'inverse. Vous me dites que quand vous avez un problème en Suisse, le téléphone sonne : « Attention, j'ai un problème en Suisse. Il y a tel industriel qui ne veut pas signer. Son produit est un produit-phare, mais on ne va peut-être pas lui prendre toute sa catégorie. ». C'est ce qui nous est remonté aujourd'hui, c'est clairement cela : si on ne signe pas des services que l'on ne souhaite pas, que l'on estime complètement inutiles, en plus de se faire déréférencer dans d'autres pays on va même se faire déréférencer dans notre propre pays. Voilà ce qui nous est remonté. Et là, vous êtes en train de me dire que quand il y a un problème, vous appelez AgeCore, et on vous dit que puisqu'il ne veut pas signer, vous allez mettre le pied sur le frein sur les négociations nationales !