Votre théorie, si on peut l'appeler ainsi, plutôt que de relever le seuil de revente à perte, consiste à mettre en oeuvre et réussir la négociation tripartite, c'est-à-dire faire en sorte que la négociation du commerçant que vous êtes avec les industriels tienne compte des réalités du maillon amont. À une époque, vous avez déclaré que les industriels, les grandes marques, n'étaient pas favorables à cette négociation tripartite. Confirmez-vous cela aujourd'hui ?