C'est à peu près 11 500 partenariats noués avec chaque magasin. Je dis « à peu près », parce qu'il est difficile d'avoir un chiffre très précis. Ce sont vraiment des accords qui se passent entre un agriculteur, un producteur et un magasin.
Maintenant, en pourcentage du chiffre d'affaires, c'est effectivement cela, entre 1 et 3 % du chiffre d'affaires du magasin. Par contre, je voudrais quand même vous préciser ce qu'est une alliance locale, parce que c'est important d'avoir cela en tête. La difficulté que peuvent avoir des agriculteurs qui nous vendent des pommes de terre – par exemple, au centre Leclerc de Châteaudun – si le consommateur les trouve bonnes et qu'il a envie de les racheter, c'est de pouvoir les retrouver la fois suivante dans un assortiment général. Le principe de l'alliance locale, c'est la création d'une marque ombrelle qui abrite au sein du magasin tous ses produits sous une même bannière : c'est d'ici, c'est du coin, etc. pour qu'ils aient une visibilité auprès des consommateurs.