Nous resterons sur les négociations que vous avez avec les industriels. Je peux comprendre, vous avez besoin de ces produits-là. Vos consommateurs, vos acheteurs ont besoin de ces produits-là. Je ne remets pas du tout cela en question. Je dis juste que quand il y a une difficulté de négociation avec Coopernic ou Coopelec, à un moment donné – c'est ce qu'on nous a expliqué – il y a un appel, on vous dit qu'il y a un problème avec la marque « X », qu'on a du mal à avoir des services. Vu que ce sont des équipes différentes dans toutes ces entreprises industrielles, il y a l'équipe internationale, puis il y a les équipes avec les comptes-clés E. Leclerc au local.
Quand vous recevez cet appel, vous dites au complet local qu'il y a une difficulté dans la négociation en amont qui fait qu'aujourd'hui c'est compliqué. Là, je m'adresse à vous, Monsieur Chellet. J'aimerais une réponse de votre part.
Avez-vous ce genre de coups de téléphone qui arrivent ? Vous êtes négociateur, vous êtes acheteur, le but c'est aussi d'en parler avec le compte-clé, n'est-ce pas ?