C'est sur ce prix que le problème se pose puisque les études que nous avons nous montrent que la disproportion est flagrante entre certains pays.
Vous parliez de transparence tout à l'heure. Nous n'avons pas la capacité de renégocier les prix d'avant, sauf s'il y a des augmentations de matières premières ou autre, ou des baisses.
D'ailleurs, j'avais posé à l'époque un amendement dans EGAlim, pour que les augmentations ou les baisses soient axées sur un indicateur de coût de revient. Il n'est pas porté par le monde agricole, mais j'estime que quand il y a une baisse, le prix doit baisser.
Sur les services, le problème est qu'on nous parle de disproportion colossale. C'est-à-dire que pour mettre en place un nouveau produit, ce n'est pas un chèque de 10 000 euros, mais des chèques de plusieurs centaines de milliers d'euros qui peuvent être amenés par ces industriels sans aucune transparence.
Puisque votre catalogue de services existe. Vous proposez des services, mais il n'y a aucun prix en face du service. Nous proposons aujourd'hui de mettre un prix en face d'un service pour justement qu'il y ait de la transparence. Êtes-vous capables de faire cela, ou bien vous vous dites que non, ce n'est pas possible, parce que 1 + 1 ne font pas 2 ?