Pas toutes, et leurs résultats sont quand même à l'étranger. Laissez-nous négocier avec ces gens-là. Je regarde par exemple les cours du café. L'année dernière, c'est -19 %. Nous pouvons quand même négocier des baisses de tarifs sur des cours à ce point à la baisse.
Si nous acceptons toutes les hausses de tarifs des fournisseurs depuis 3 ans, nous avons une inflation de prix qui est de l'ordre de 14 ou 15 % en France. La question est de savoir si les Français peuvent supporter une inflation aussi importante que cela. Les hausses de tarifs demandées par les fournisseurs sont de l'ordre de 15 %.
Nous faisons un travail de négociation extrêmement précis en fonction des catégories de produits, pour aller essayer de négocier des baisses de prix avec les industriels quand il y a des baisses de prix. C'est pour cela qu'il me semblait important de vous parler des produits frais. En plus, ils sont dans le spectre de la loi EGAlim.
Quand il y a des hausses de matières premières, nous augmentons, nous acceptons des augmentations de tarifs. Nous les discutons mais nous les acceptons.