Rien à voir. Vous pouvez vous agiter, monsieur Vallée, sur votre chaise, mais cela décrit la complexité des niveaux de négociation. Lorsque je vous posais l'articulation entre le groupe Carrefour, Envergure, la centrale d'achat France, et C.W.T., reconnaissez que tout cela est un mode de négociation complexe. Je crois que c'est vous qui aviez dit qu'en France on faisait preuve d'imagination et que le législateur faisait souvent bouger la loi, mais s'il y a un sujet vers lequel il y a matière à porter le regard, c'est certainement celui-là, tous ces niveaux de négociation. Parce que si les distributeurs avaient face à eux un certain nombre de fournisseurs, quelle que soit leur taille, fournisseurs locaux, PME, entreprises de taille intermédiaire, ou groupes internationaux, multinationales, s'il y avait un interlocuteur avec un échelon de négociation, les choses seraient sans doute un peu plus simple et il y aurait une corrélation plus réelle entre le prix de vente, donc le prix payé par le consommateur, et le prix payé aux producteurs, que ce soit un agriculteur ou un producteur de lessive ou de shampoing.