Le rapport du Conseil d'orientation des infrastructures, dans sa sous-partie intitulée « Redonner du sens au réseau fluvial », a proposé d'engager une politique de « dénavigation » de 1 000 kilomètres de canaux. Mon collègue M. Pierre Cordier entend dans cet amendement insister sur la nécessité d'empêcher la fermeture des canaux sans débat préalable avec les élus locaux et nationaux.