Le texte que vous nous proposez n'offre pas de garanties financières suffisantes pour permettre aux EPCI de prendre des mesures fortes. Ce n'est pas en culpabilisant ceux qui n'ont pas les moyens de changer de véhicule que nous trouverons une solution à la crise climatique. Tout le monde n'habite pas dans une capitale. Dans l'immense majorité des cas, vivre à la campagne, cela veut dire devoir prendre sa voiture pour aller travailler, aller chercher ses enfants à l'école, se rendre chez le médecin ou aller acheter son pain – pour vivre, tout simplement !
Le deuxième exemple, c'est évidemment la limitation à 80 kilomètres à l'heure.