On sait bien que l'ennemi, c'est l'autosolisme, et que tout ce qui favorise le covoiturage ou l'autopartage va dans le bon sens. Le texte offre la possibilité à Île-de-France Mobilités de conférer un label « auto-partage », mais seulement si l'autorité organisatrice de la mobilité n'use pas de cette faculté et sous réserve que ce service existe dans les communes concernées. Cela pose tout de même un problème et cet amendement propose que les communes puissent elles-mêmes attribuer ce label, donc même si Île-de-France Mobilités n'a pas usé de cette faculté.