Je confirme notre soutien à cet amendement. Au risque de déplaire, c'est le type même de projet que nous considérons comme un « aménagement du territoire de classe ». Je souscris à l'argumentaire développé par Mme Rubin. Certes, vous l'avez rappelé, monsieur le secrétaire d'État, le financement du projet est couvert par un autre biais, mais on donne la priorité à ce mode de transport de voyageurs, et cela aura des incidences en matière d'aménagement du territoire. Ce choix relève d'une décision très politique, ce que l'on retrouve d'ailleurs dans d'autres projets de transport publics.
Cela nous pose un problème majeur, car nous savons dans quelles conditions se fait l'essentiel du trafic de voyageurs non seulement en région parisienne – on a donné l'exemple du RER B, indépendamment de la question du financement – , mais aussi dans d'autres métropoles de notre pays.