Cet accord entre la France et la Suisse, qui tend à faciliter le déplacement des forces de police dans les territoires accueillant l'accélérateur de particules, est aussi nécessaire que positif. Il s'agit d'une formalité propre au fameux LHC du CERN, dont l'implantation chevauche la frontière franco-suisse. Une telle configuration rend nécessaire un accord permettant aux forces de police d'un pays d'intervenir dans le territoire de l'autre, mais en restant à l'intérieur des implantations du CERN, et à sa seule demande.