En vérité, Emmanuel Macron renie le précepte qu'il avait promis de respecter pour marquer la rupture de sa politique africaine avec celle de ses prédécesseurs : la non-ingérence militaire dans les affaires politiques intérieures d'un pays africain.
Ne me parlez pas d'accords de défense, monsieur Goasguen : pour juger de leur pertinence, encore faudrait-il que l'on sache ce qu'ils contiennent.