À l'issue de cette très longue séance au cours de laquelle nous avons débattu de cinq conventions, permettez-moi de remercier le Gouvernement, et plus particulièrement son représentant Jean-Baptiste Lemoyne, qui a répondu et s'est engagé en son nom sur des questions importantes, ce dont je le remercie.
Je remercie en outre chacune et chacun des collègues présents tout au long de cet après-midi et de ce début de soirée pour leur assiduité, leur engagement, leur conviction. Je suis toujours très heureuse que les conventions soient l'occasion, dans cet hémicycle, de consacrer du temps à la politique étrangère, c'est-à-dire aux affaires du monde. J'ai l'intime conviction que les affaires que l'on dit « étrangères » ne le sont absolument pas pour les citoyens du monde que nous sommes : elles nous concernent chacun d'entre nous, comme elles concernent chacun de nos compatriotes.