Or c'est ce qui me gêne profondément : que l'on veuille ou non, et même si vous pouvez le contester aujourd'hui avec la plus grande force, mettre en concurrence cette voie de procréation naturelle et la technique ouvrira la voie à d'autres techniques qui permettront demain de choisir l'enfant que l'on souhaite et ses caractéristiques. Cette évolution porte un nom : le risque de l'eugénisme, et ce n'est pas dans la conception éthique de la France.