En parlant de la « qualité » de l'embryon, on a vraiment le sentiment qu'on a affaire à une marchandise, qui pourrait être repoussée parce qu'elle présente un défaut. Or il me semble que l'embryon mérite davantage de considération. Ces questions sont importantes et nous devons prendre le temps d'en débattre, plutôt que d'essayer d'avancer à marche forcée.
Mon amendement n° 452 vise à préciser cette notion de qualité. Le rapporteur nous dit que c'est trop tôt et que nous devons encore y travailler, mais c'est tout de même notre rôle que d'apporter cette précision. Avec cet amendement, je propose donc d'indiquer que nous parlons de « qualité cellulaire ». Cette précision éviterait que l'on considère l'embryon comme une simple marchandise.