Ces amendements reflètent bien l'esprit de ce texte : l'ingérence de l'État dans la vie des familles et l'organisation d'un marché de la procréation au bénéfice de sociétés qui y ont intérêt. Le Gouvernement est certes défavorable à l'ouverture de centres privés à but lucratif mais nous devons tous nous mobiliser contre cette logique de marchandisation du corps, cette logique utilitariste à l'anglo-saxonne, et continuer à défendre le modèle français de bioéthique.