En 2016, c'est effectivement au travers d'un amendement qu'a été adoptée dans cette partie du texte la possibilité d'utiliser des embryons dans le cadre de la recherche sur la procréation médicalement assistée. Or nous avons estimé que cette décision pouvait générer des ambiguïtés. Intégrer les recherches en AMP dans le cadre de la RIPH nous a semblé beaucoup plus protecteur.