Monsieur Hammouche, vous évoquez la pathologie d'une personne protégée par le secret médical : elle n'est pas obligée de la révéler à l'autre. Mais en l'occurrence, il s'agit de la pathologie d'un foetus : c'est donc plus compliqué d'un point de vue déontologique car le foetus est issu de deux personnes. Je pense en fait qu'il ne faut pas toucher à la loi actuelle. Je suis donc favorable à l'adoption de l'amendement de M. Bazin.