Nous avons retiré à l'Agence sa mission d'évaluation des nanotechnologies par le fait qu'elle nécessite des compétences tout à fait particulières dont elle ne dispose pas, sachant par ailleurs que c'est un domaine dans lequel sont impliqués d'autres organismes comme le Commissariat à l'énergie atomique (CEA), l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) ou d'autres agences oeuvrant dans le champ environnemental.
Je ne suis pas contre conserver les nanobiotechnologies dans les missions de l'Agence, mais sans préciser qu'il s'agit d'une mission d'évaluation, ce qui l'obligerait à recruter une centaine de personnes. J'émettrai donc un avis de sagesse.