Lorsqu'on a sur son CV, madame Virginie Schwarz, l'ADEME et le Fonds mondial de l'environnement, cela permet de conjuguer le local et le global. Je peux par ailleurs témoigner, pour vous avoir fréquentée en votre qualité de commissaire du gouvernement à l'ANDRA (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs), de votre sens du service public et de l'intérêt général. C'est donc ciel bleu et grand soleil sur votre parcours et votre expertise !
Il y a en revanche de gros nuages en ce qui concerne les projets de restructuration, le nombre d'agents présents dans cet opérateur de l'État mais aussi les centres de proximité. Comment ces restructurations vont-elles altérer la relation avec le local et la qualité d'expertise de Météo-France ?
S'agissant de l'adaptation, on peut évoquer l'alerte, l'assurance et la reconnaissance de catastrophe naturelle. Quelle relation avez-vous avec les collectivités locales s'agissant de l'assurance ou des aléas pour la profession agricole ?
Pour poursuivre les propos de M. Jimmy Pahun, quelle est votre stratégie en ce qui concerne les outre-mer qui connaissent, on l'a vu récemment, des événements climatiques extrêmes majeurs ?
Enfin, nous connaissons tous la qualité du travail du GIEC ; l'Organisation mondiale météorologique bénéficie elle aussi d'une expertise reconnue. Pouvez-vous nous apporter des précisions sur les modèles d'analyse prédictive avec l'utilisation de l'intelligence artificielle ?