Il porte sur un sujet important. Le devenir des embryons humains est une décision grave qui doit être pensée par les couples dans le cadre de leur démarche en vue d'une AMP : cette décision ne concerne pas uniquement le « membre survivant ». Il est donc proposé d'inciter le couple à réfléchir à sa volonté en cas de décès d'un des membres.
Nous ne parlons plus de « directives anticipés » – nous avons bien retenu ce que vous avez dit en commission – , mais vous faisons une belle proposition en évoquant une volonté commune quant au devenir de l'embryon.