J'en reviens à ce que j'ai dit hier : la ministre des solidarités et de la santé ayant alors argué que de telles perspectives relèvent de la science-fiction, j'avais répondu que nous étions justement là pour parer à toutes les dérives qui pourraient se produire dans le futur. Une loi de bioéthique n'a pas pour objectif de régir ce qui existe déjà, mais d'éviter les dérives que la recherche permettra immanquablement un jour ou l'autre.