… vous imaginez évidemment qu'il pourrait y avoir – pas uniquement chez l'enfant, mais également dans son entourage – un intérêt autre que moral à connaître, et surtout à rencontrer, ce donneur. Aujourd'hui, le texte ne comprend aucune garantie pour prévenir cela. Il ouvre donc potentiellement la porte à de nombreux contentieux relatifs à cette capacité de donner.
Cette remarque nous ramène à l'argument selon lequel, dès lors qu'on ouvre sans borne le droit à l'origine, les donneurs y réfléchiront à deux fois avant de réaliser cet acte de générosité.