Soyons clairs, nul ne conteste les droits équivalents pour les enfants ; la loi n'a même pas besoin de le préciser. Je me réfère à un texte qui surplombe tout notre édifice juridique : la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, dont l'article 1er proclame que « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. »