Madame la ministre, je vous poserai une question assez pragmatique, dans la continuité de celle de Mme Annie Vidal.
Trente communes de ma circonscription sont touchées par les mesures de protection qui ont été prises en ce qui concerne la commercialisation des produits agricoles, d'élevage et de maraîchage. De nombreux citoyens m'ont interpellé s'agissant de la consommation de gibier et de poissons sauvages – le sanglier mange du maïs toutes les nuits, par exemple. Sans aller jusqu'à interdire la pêche et la chasse dans les territoires en question, des mesures me paraissent s'imposer afin de prévenir la consommation de ces produits, en application du principe de précaution. Or la direction départementale de la protection des populations (DDPP) et le réseau SAGIR n'ont toujours pas donné d'informations aux diverses fédérations. Avez-vous des informations à ce sujet ?