Monsieur le ministre de l'intérieur, après le drame de jeudi dernier, j'étais dans l'hémicycle pour observer avec mes collègues une minute de silence en hommage aux quatre fonctionnaires assassinés à la préfecture de police de Paris. Dans ces occasions funestes, l'Assemblée nationale sait, heureusement – je veux le croire – , faire taire ses divisions et refaire parler la nation – ne serait-ce que pour une minute.
Au nom de tous les députés, notamment parisiens, …